Ilm’explique que généralement il faut mettre « sous réserve de l’obtention du permis de construire, purgé de tout recours ». Même si le permis de construire est obtenu, les tiers (il
Sommaire de l’article 1 Le délai de recours à lencontre des autorisations d’urbanisme 2 Les différentes formes de recours 3 Les conséquences dune annulation ou d’un retrait administratif de lautorisation d’urbanisme 4 Dernière précision pour la route 5 Pour conclure Le délai de recours à lencontre des autorisations d’urbanisme Toutes les autorisations d’urbanisme permis de construire, d’aménager ou déclaration préalable de travaux sont des décisions administratives susceptibles de faire l’objet d’un recours en annulation. Le principe est simple si un recours aboutit, l’autorisation obtenue est annulée. Quelle que soit l’autorisation d’urbanisme, le délai de recours est de 3 mois. Il comprend – un délai de recours des tiers de 2 mois à compter du 1er jour d’affichage de l’autorisation d’urbanisme sur le terrain. Pour en savoir plus sur les formalités d’affichage, n’hésitez pas à consulter nos pages qui leur sont consacrées. – un délai de retrait administratif de 3 mois à compter de la date figurant sur l’arrêté de délivrance du permis ou de non-opposition à déclaration préalable. En cas d’obtention tacite de l’autorisation d’urbanisme autrement dit d’absence de réponse, le délai de retrait administratif commence à courir à partir de la date d’expiration du délai d’instruction. Ce n’est qu’une fois ce délai de 3 mois expiré à condition bien sûr qu’aucun recours n’ai été formée qu’on considère qu’un permis ou qu’une déclaration préalable de travaux est définitif » ou purgé de tous recours et retraits administratifs ». Remarque Avant l’expiration du délai de recours, on va parler simplement de permis obtenu » et non de permis purgé » ou définitif ». Les différentes formes de recours L’appellation générale de recours » englobe en réalité deux types d’actions susceptibles d’aboutir à une annulation de l’autorisation d’urbanisme le recours des tiers et le retrait administratif. Le délai de recours des tiers commence à courir à partir du 1er jour d’affichage du panneau de permis de construire sur le terrain. Il est de 2 mois. Le recours des tiers N’importe quel tiers justifiant d’un intérêt à agir peut former un recours. Ce peut bien sûr être un voisin proche mais pas que. Ce peut aussi être une association locale dont l’objet est la préservation de l’environnement, par exemple, ou un voisin a priori plus éloigné propriétaire ou locataire pour peu qu’il justifie que le projet de construction porte atteinte à la jouissances ou l’utilisation de son bien. En l’absence de liste » des tiers susceptibles de former un recours dans la Loi, c’est au juge du tribunal administratif qu’il revient de s’assurer de l’intérêt à agir d’un tiers. En pratique, le tiers qui estime qu’une autorisation d’urbanisme est illégale car délivrée en méconnaissance de certaines règles d’urbanisme, a la possibilité de former deux types de recours le recours gracieux et le recours contentieux. Le recours gracieux contre un permis de construire ou toute autre autorisation d’urbanisme Généralement, on considère le recours gracieux comme l’étape n°1 d’une action visant à obtenir l’annulation d’une autorisation d’urbanisme car il s’agit du recours le plus simple à mettre en œuvre. Concrètement, le tiers n’a qu’à envoyer un courrier en recommandé avec accusé de réception à la personne qui a délivrée l’arrêté en cause, lui demandant de l’annuler et en précisant pourquoi. Suite à cela, le Maire dispose d’un délai de 2 mois pour répondre ou ne pas répondre, ce qui équivaut à rejeter la demande. S’il répond, deux options soit le Maire entend les arguments du tiers, se rend compte qu’il a commis un erreur en prenant l’arrêté et annule l’autorisation d’urbanisme. Dans ce cas, le permis est annulé et les travaux qui auraient d’ores et déjà été réalisés deviennent illégaux. Soit le Maire rejette la demande d’annulation et en informe le tiers. Là où les choses se corsent un peu, c’est sur la question des délais. En effet, le fait qu’un tiers forme un recours gracieux a pour conséquence de rallonger le délai de recours contentieux. Pourquoi ? Parce qu’une fois reçue la réponse de la mairie et à condition d’en avoir informé le titulaire de l’autorisation d’urbanisme, le tiers dispose d’un nouveau délai de 2 mois, pour entamer cette fois une seconde action le recours contentieux contre le permis ou la déclaration préalable. Le recours contentieux Le recours gracieux est facultatif. Rien n’empêche le tiers de former directement un recours contentieux en annulation devant le tribunal administratif. Conséquences Soit le recours contentieux n’est pas précédé d’un recours gracieux et il intervient dans les 2 mois de l’affichage du permis sur le terrain, Soit il fait suite à un recours gracieux et dans ce cas, il doit être formé auprès du tribunal dans les 2 mois du rejet du recours gracieux. Oui, oui, vous avez bien lu s’il y a recours gracieux, le délai de recours contentieux peut aller jusqu’à 6 mois après le premier jour d’affichage du panneau sur le terrain 2 mois de délai, 2 mois de réponse de la mairie et encore 2 mois pour saisir le tribunal administratif. Et encore, on ne parle ici que du délai de recours. S’agissant du délai pour obtenir un jugement rejet de la demande d’annulation ou annulation de l’arrêté de permis ou de non-opposition à la déclaration préalable, c’est encore bien plus long entre 8 et 24 mois, suivant le tribunal. Le retrait administratif Comme tout acte administratif pris, un arrêté de permis de construire, d’aménager ou de non-opposition à déclaration préalable, est transmis en préfecture pour contrôle. Les services du préfet vont alors examiner la légalité de l’arrêté aussi bien sur le fond c’est-à -dire le respect des règles d’urbanisme que sur la forme autrement dit la procédure. Ce contrôle de légalité s’effectue dans les 3 mois de la date de l’arrêté et, en cas d’illégalité avérée, il se solde par une demande de retrait faite par le préfet au maire. Traduction concrète le maire prend un nouvel arrêté par lequel il retire l’autorisation d’urbanisme qu’il avait pourtant lui-même délivrée. Si les cas de retrait administratif sont beaucoup moins courants que les recours de tiers en annulation, il n’en demeure pas moins qu’ils existent. On note qu’ils sont particulièrement fréquents dans les situations suivantes Quand le projet est soumis à la Loi Montagne ou la Loi Littoral, Quand la commune où se situe le projet ne dispose pas d’un document local d’urbanisme et que seul s’applique le RNU pour en savoir plus sur le RNU, consultez la page suivante Quand l’autorisation d’urbanisme est obtenue de manière tacite, Quand l’autorisation d’urbanisme a été délivrée en dépit d’un avis négatif de l’Architecte des Bâtiments de France. Les conséquences dune annulation ou d’un retrait administratif de lautorisation d’urbanisme Un permis ou une déclaration préalable obtenus autorisent la réalisation de travaux. Logiquement, s’ils sont annulés ou retirés, la réalisation des travaux prévus n’est plus autorisée, à moins de déposer et d’obtenir une nouvelle autorisation d’urbanisme qui soit cette fois devenue définitive. Alors que risque-t-on vraiment à démarrer des travaux de construction ou d’aménagement avant l’expiration du délai de recours et de retrait administratif ? Et quelles sont les conséquences d’une annulation ou d’un retrait de permis ? 1. Attirer l’attention sur son projet de construction Cela peut sembler idiot et pourtant le voisinage prête souvent plus attention à des vas-et-viens d’engins de chantier qu’à la présence d’un panneau d’affichage sur un terrain. L’histoire du maître d’ouvrage qui a attaqué le terrassement de son terrain avant l’expiration du délai de recours et qui, tout étonné, a vu débarquer ses voisins pour l’inonder de questions avant d’apprendre que l’un d’eux formait un recours gracieux parce qu’il était gêné » de la proximité de sa future construction avec sa parcelle, n’est pas une légende urbaine. Si le recours est sans fondement et qu’il est rapidement rejeté, la conséquence n’en sera que l’interruption temporaire des travaux, le temps de s’assurer que les choses ne vont pas aller plus loin. Dans le cas contraire, les quelques jours gagnés sur le planning des travaux seront vite perdus. 2. Devoir demander une nouvelle autorisation d’urbanisme Nous le savons, les maîtres d’ouvrage qui cherchent à entamer leurs travaux avant l’expiration du délai de recours sont toujours motivés par la perspective de gagner du temps sur leur construction. Néanmoins, il faut garder en tête qu’en cas de recours aboutissant à une annulation du permis ou de la déclaration préalable, il sera nécessaire de déposer une nouvelle demande de permis de construire avec les délais d’instruction et de purge qui vont avec. Si des travaux ont été entamés, il sera nécessaire de les faire coïncider » avec le dossier de demande d’autorisation d’urbanisme… à condition bien sûr qu’entre temps la réglementation n’ait pas changé et que l’arrêté autorisant les travaux soit bien délivré par le maire. S’il s’agit de la solution la plus fréquemment mise en œuvre pour régulariser des travaux suite à l’annulation d’un permis, son succès n’est jamais garanti car faute d’obtenir une nouvelle autorisation d’urbanisme définitive, l’ultime sanction c’est la démolition et/ou le paiement de dommages et intérêts. 3. Devoir détruire les ouvrages et remettre le terrain en l’état Lorsqu’un permis ou une autorisation d’urbanisme est annulé ou retiré par l’administration alors que les travaux de construction et/ou d’aménagement du terrain ont déjà été réalisés, la sanction prononcée par le juge peut aller jusqu’à la destruction partielle ou totale des constructions devenues illégales, avec versement de dommages et intérêts au requérant. Dans les faits, vu l’engorgement des tribunaux et le fait qu’un recours n’a pas d’effet suspensif autrement dit que tant qu’une autorisation d’urbanisme n’est pas annulée, elle est valide même si un recours a été formé à son encontre, les juges ne prononcent que rarement la démolition totale d’un bâtiment. La loi dite Macron » du 6 août 2015 est par ailleurs venue encadrer un peu plus les cas dans lesquels la démolition d’une construction illégale peut être prononcer. Désormais, seules les constructions situées dans l’une des 14 zones protégées listées dans le Code de l’Urbanisme pourront faire l’objet d’une démolition. 4. Payer des dommages et intérêts au requérant, en réparation du dommage subi Si la démolition de l’ouvrage réalisé sur la base d’un permis annulé n’est plus systématique, le maître d’ouvrage d’un bâtiment non autorisé par un permis ou une déclaration de travaux peut voir sa responsabilité recherchée par le tiers à l’origine du recours. Il peut donc être condamné par un juge à lui verser des dommages et intérêts en réparation du préjudice causé par sa construction illégale. Attention, dans certains cas, les montants peuvent être importants voire très très importants notamment si la construction litigieuse a pour conséquence la perte de valeur du bien appartenant au tiers. De quoi dissuader, nous l’espérons, les plus impatients à ne pas attendre la fin des délais de recours et de retrait administratif pour démarrer leurs travaux. Dernière précision pour la route Cette recommandation générale de toujours attendre la fin du délai de recours des tiers avant d’entamer les travaux autorisés par un permis de construire ou une déclaration préalable vaut aussi pour les maîtres d’ouvrage propriétaires d’un terrain situé en lotissement. Car ce n’est pas parce que le projet de lotissement fait l’objet d’une autorisation d’urbanisme purgée de tous recours que les permis accordés sur les lots qui le composent ne peuvent pas être attaqués. Pour conclure Un projet de construction s’inscrit dans le temps long et est porteur d’enjeux financiers importants. Compte tenu des conséquences d’une annulation d’autorisation d’urbanisme vues ci-avant, et quel que soit votre degré d’impatience de voir les premiers coups de pelle donnés, ne badinez pas avec les délais de recours, au risque de voir votre projet virer au cauchemar. Voyez plutôt ce temps mort » comme une opportunité d’optimiser vos agencements intérieurs, de peaufiner votre planning prévisionnel ou votre budget de travaux réservés, si vous en avez, ou d’approfondir le volet paysager de votre projet. Et puisque la purge des délais recours est aussi importante, veillez bien à leur mention dans le compromis ou la promesse de vente portant sur le terrain assiette de votre projet de construction. On en le répètera jamais assez La condition suspensive d’obtention d’un permis de construire c’est bien, mais parler de permis purgé de tous recours et retraits administratifs, c’est encore mieux » ! A bon entendeur ! NataliaCoach seniorCo-fondatrice de " un terrain
Unpermis de construire purgé de tout recours est un permis qui est valable parce que le délai de recours d’un tiers est expiré. La durée est de deux mois pour chaque personne et de trois mois pour les autorités compétentes telles que la mairie ou l’Etat. Voir l'article : Les 20 meilleures astuces pour obliger un locataire à payer son loyer. Comment supprimer lesAprès le dépôt de la demande de permis de construire et si l’instruction aboutit sur une décision favorable, alors vous avez le feu vert pour la construction. Quand vous obtenez votre permis de construire, vous ne pouvez toutefois pas attendre indéfiniment avant de vous lancer dans les travaux. Un délai existe pour commencer le chantier après obtention du permis de construire. Voici les détails de ce délai à connaître et les conditions que vous pouvez utiliser pour le prolonger. Quel est le délai pour commencer les travaux après obtention d’un permis de construire ? Une fois le permis de construire obtenu, le délai à respecter pour initier les travaux débute. Ainsi, après l’affichage obligatoire du permis de construire pour informer le voisinage puisse du projet et qu’il puisse manifester son désaccord éventuel, vous disposez d’un délai de 36 mois pour débuter le chantier. Vous devez commencer les travaux dans les trois ans qui suivent l’obtention du permis de construire. A défaut, cette autorisation d’urbanisme ne sera plus valable. Cette durée de validité de trois ans à compter de la délivrance concerne le permis de construire, d’aménager ou de démolir, mais n’impose pas l’achèvement des travaux. En clair, il faut débuter les travaux a minima dans les trois années qui suivent la notification de délivrance du permis de construire. Vous devez initier votre chantier, mais rien ne vous oblige à l’achever u, avec une livraison complète du bâti concerné. La procédure pour commencer les travaux après obtention d’un permis de construire Comme nous venons de l’évoquer, c’est l’ouverture du chantier qui permet de respecter le délai pour commencer les travaux après obtention d’un permis de construire. Il ne s’agit en aucun cas de la livraison complète. Pour être dans les règles, vous devez déposer une déclaration d’ouverture de chantier DOC directement auprès de la mairie de la commune concernée ou en utilisant un formulaire en ligne. Une fois ce document complété et fourni à l’administration, l’ouverture du chantier est officielle. Des travaux concrets doivent tout de même suivre cette phase administrative. Vous devez réellement entreprendre la construction avec par exemple la maçonnerie des murs ou l’édification d’une structure. Prolonger le délai de validité d’un permis de construire, c’est possible Si vous ne parvenez pas à lancer les travaux dans le délai imparti, vous pouvez demander à prolonger la durée de validité du permis de construire. Cette prolongation est également possible dans le cas d’une déclaration préalable de travaux. Comme une bonne nouvelle n’arrive jamais seule, il est possible de demander deux prolongations d’une durée d’une année chacune. En les cumulant, cela signifie que vous pouvez obtenir un délai après obtention du permis de construire allant jusqu’à cinq ans pour commencer les travaux. Mais attention, cette durée maximale est en réalité très théorique. Pour pouvoir en bénéficier, il faut en effet que les règles d’urbanisme qui concernent la parcelle sur laquelle vous souhaitez effectuer les travaux n’aient pas changé. Si certaines règles ont évolué et ne permettent plus de construire en respectant l’implantation prévue dans le permis de construire initial, alors la prolongation ne sera pas possible. Cela peut notamment concerner la hauteur d’un édifice ou encore son emplacement par rapport aux limites séparatives ou à la voirie. Sachez que ce sont également les servitudes administratives qui contraignent le projet ne doivent pas avoir évolué en votre défaveur. La procédure à suivre pour prolonger le délai de validité d’un permis de construire est identique à la procédure initiale. Vous devez déposer une demande en mairie. Celle-ci doit intervenir au moins deux mois avant le délai d’expiration de validité du permis d’origine. Vous obtiendrez une réponse favorable ou non. En cas d’absence de réponse, cela veut dire que la validité de votre permis de construire bénéficie d’un renouvellement d’une année. Quel est le délai pour terminer les travaux après obtention d’un permis de construire ? Si nous évoquons ici le délai pour lancer les travaux, qu’en est-il du délai pour terminer les travaux après l’obtention d’un permis de construire ? La loi ne prévoit aucun délai. Cela signifie-t-il pour autant que vous pouvez garder un chantier en cours pendant des années durant ? Non ! Une fois passé le délai de trois ans après obtention du permis de construire, les travaux sont réputés commencés. Ils ne doivent dès lors pas faire l’objet d’une interruption pendant une durée supérieure à une année. Dans le cas contraire, cela invalidera alors le permis. L’invalidation du permis de construire dépend de la preuve de l’interruption et notamment sa durée supérieure à un an. Cela peut notamment être le cas d’un voisin ou d’un riverain qui souhaite voir cesser la construction. Afin de justifier de votre bonne foi et pour ne pas voir votre permis de construire annulé, nous vous recommandons de conserver toutes les factures relatives aux travaux. Ces dernières mentionnent notamment les dates d’intervention sur les chantiers. Tout document qui justifierait d’une interruption d’une durée inférieure à un an est à garder précieusement. Une fois les travaux achevés, vous devez adresser une déclaration d’achèvement de ceux-ci à votre mairie. Ce document est important, car vous y attestez que les travaux réalisés sont en conformité avec le permis de construire délivré. Cela peut faire l’objet d’un contrôle sur place pour vérifier vos dires. Que faire en cas de permis de construire périmé ? Dans le cas de l’irrespect du délai pour commencer les travaux après obtention du permis de construire et de sa péremption , existe-t-il des solutions pour agir ? La seule solution consiste à redéposer une demande de permis de construire. Dans le cas où les règles d’urbanisme n’auraient pas évolué, vous devriez alors obtenir le feu vert comme cela était le cas précédemment. En revanche, si les conditions de construction ont changé, il faudra peut-être modifier le projet et revoir vos plans. Sachez que l’administration différencie les cas pour lesquels les travaux n’ont pas débuté des cas pour lesquels les travaux ont été interrompus. Lorsque le permis de construire est périmé, car l’interruption a duré plus d’un an, il est souvent très difficile d’obtenir à nouveau une autorisation. Le permis de construire dans le cas d’une vente à un promoteur immobilier La question de la délivrance d’un permis de construire et notamment de son délai de validité pour lancer les travaux est centrale si vous réalisez une vente à un promoteur immobilier. Effectivement, si vous choisissez de vendre un terrain ou un bien immobilier à un promoteur en vue de la réalisation d’un projet de construction neuve, vous pouvez profiter de conditions d’achat avantageuses. En contrepartie de cette plus-value potentielle pour vous, la vente est soumise à des conditions suspensives, et notamment celle d’obtenir un permis de construire purgé de tout recours. Partant, le promoteur immobilier s’engage à acheter votre bien uniquement s’il obtient un permis de construire pour son projet. En contrepartie du blocage du bien pendant la période de conception de l’offre architecturale, de montage du dossier et obtention du permis de construire, vous pouvez prétendre à une indemnité d’immobilisation. Si vous souhaitez en savoir plus sur les conditions de rémunération dans le cas d’une vente à un promoteur immobilier, solliciter nos experts. City&You s’engage à vos côtés et vous accompagne dans les négociations des conditions de vente qui vous sont proposées, tout en vous permettant d’obtenir un prix potentiel constructible avantageux, afin de valoriser le bien dont vous souhaitez vous séparer.
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