Cest avec un grand soulagement que le personnel des Variétés a, ce mercredi 24 juin, rouvert les portes du cinéma local après trois mois de fermeture pour cause de
Le Lamartine Cosy T2 hypercentre tout confort est situé à Bellegarde-sur-Valserine. Aix-les-Bains se trouve à 47 km. Cet appartement comprend une chambre, un salon et une cuisine entièrement équipée. Vous séjournerez à 27 km de Genève et à 33 km d'Annecy. L'aéroport de Chambéry-Savoie, le plus proche, est implanté à 52 km. Les animaux de compagnie ne sont pas admis au sein de l'établissement. Les enfants de tous âges sont acceptés. Aucun lit bébé disponible. Aucun lit d'appoint disponible. Moyens de paiement acceptés sur place Espèces Les enterrements de vie de célibataire et autres fêtes de ce type sont interdits dans cet établissement. Hébergement géré par un particulierCinéma"Les Variétés" Bellegarde-sur-Valserine : 2 salles : 130 et 340 places. Programmes et tarifs sur répondeur Possibilité de louer une salle pour conférences ou réunions. Programmes
Skip to content AccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971RechercheAccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971RechercheAccueilSalles de CinémaTous les cinémasCinémas Art & EssaiCinémas disparusCinémas MythiquesCinémas de QuartierCinémas AssociatifsCinémas PornosMultiplexesCinémas par RégionsRégion parisienneParisIle-de-FranceEn ProvinceAuvergne-Rhône-AlpesBourgogne-Franche-ComtéBretagneCentre-Val-de-LoireCorseGrand EstHauts-de-FranceNormandieNouvelle-AquitaineOccitaniePays de LoireProvence-Alpes-Côte-d’AzurAutres paysItalieBelgiqueIrlandeMonacoOmanPortugalSuisseCircuits cinématographiquesCap CinémasCGRCiné AlpesCiné Métro ArtCiné MovidaCinévilleÉtoiles CinémasGaumontLes Écrans de ParisMk2MegaramaPathéRytmannUGCUtopiaVéo CinémasActualitésToutes les actualitésCarnet du jourLivres / DVD Blu-rayExpositionsEntretiensTémoignagesCritiques de filmsToutes les critiques de filmsPratiqueCartes d’abonnementMultiplexesQui sommes-nous?À proposOn parle de nousLivre Rytmann, l’aventure d’un exploitant de cinémas à MontparnasseLivre Le Saint-André-des-Arts, désirs de cinéma depuis 1971Recherche Cinéma Les Variétés à Bellegarde-sur-Valserine Accueil/Cinéma Les Variétés à Bellegarde-sur-Valserine Voir l'image agrandie Cinéma Les Variétés à Bellegarde-sur-Valserine Adresse 42, rue de la République à Bellegarde-sur-Valserine Ain. Nombre de salles 2 La ville frontalière entre Jura et Alpes, dans le département de l’Ain, possède un joli cinéma fraîchement rénové Les Variétés. Quel bonheur de voir ce lieu culturel vivre grâce au souffle du nouveau et jeune gérant! Bellegarde avait un second cinéma, Le Vox 300 fauteuils au 1 rue de la République. Les Variétés, dans un immeuble datant des années 1920 et qui est la propriété de la commune, programment au sein de ses deux salles climatisées et avec un son Dolby, les exclusivités du moment ainsi que des films plus confidentiels. La façade bleue et rose des Variétés, mise en couleurs par la société CitéCréation, célèbre pour ses fresques murales, nous ferait presque croire que nous sommes dans une station balnéaire. Ci-dessous, les photos du hall du cinéma, ainsi qu’une photo avant la restauration de la façade du cinéma. Le quotidien régional Le Dauphiné Libéré a consacré un long article aux Variétés et a mentionné le site Programme du cinéma Les Variétés à Bellegarde-sur-Valserine Ci-dessous, la façade du cinéma avant sa restauration. Articles similaires Un commentaire Marmet G 26 janvier 2016 à 20 h 05 min j’ai trouvé ces photos, et l’article du Dauphiné, cela me rappelle tellement de souvenirs, j’ai travaillé comme projectionniste aux Variétés pendant près de 15 ans, pour Mme et Meur Chatenoux propriétaires à l’époque, c’était dans les années 50 60, j’ai commencé avant au foyer Jeanne d’Arc, et bien sur il m’arrivait également de tourner au Vox, le numérique a balayé tous cela, c’est un autre métier
Masha et Michka au cinéma” à 11h. Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies, vous pouvez à tout moment modifier votre choix, ici.. Le contenu de ce site est le fruit
Le Top 5 des Loisirs et activités à Valleiry 74520, notés et commentés par les internautes. Ce classement des meilleurs loisirs et activités à Valleiry 74520 est basé sur les notes et le nombre d'avis déposé par les internautes. Participez vous aussi en déposant vos avis sur Koifaire! 1./ Bibliothèque84 R Gare, Valleiry 74520 Il n'y à que 1 loisirs et activités enregistrés à serez peut être intéressé par ces activités similaires proches 1./ Linden pascal193 R Basse, Vanzy 74270à 4 km Chef Lieu, Chilly 74270à 4 km 35, Place De L'église, Frangy 74270à 4 km 1./ Musée de la vache et des alpages601 R Grand Pont, Vanzy 74270à 4 km 1./ Commune de chêne en semineCroisée Des Chemins, Chene en semine 74270à 4 km 50 Chemin De Cortenet - Lieu Dit Songy, Viry 74580à 8 km Longeray, Leaz 01200à 13 km 42 R République, Bellegarde sur valserine 01200à 13 km 9 R Jean Jaurès, Bellegarde sur valserine 01200à 13 km
Cinémales Variétés, Bellegarde-sur-Valserine - Horaires, Avis & Numéro de Téléphone - 42 Rue de la République, Bellegarde-sur-Valserine, Auvergne-Rhône-Alpes, Auvergne-Rhône
Rendez-vous de la construction bois et BBC, Ă la veille de la mise en place de la RT 2012, il a pour vocation de rĂ©pondre aux attentes des visiteurs en termes d’éco construction. Le sous-sols de la Cartoucherie contiendraient des traces de mercure. / Photo DDM archives-Thierry Bordas Le terrain du Giat, qui doit accueillir un projet d'Ă©coquartier est polluĂ©. Le maire a Ă©crit au prĂ©fet. Pour RĂ©gis Godec, adjoint au maire, le Giat doit financer la dĂ©pollution. Ce devait ĂŞtre l'Ă©coquartier emblĂ©matique de Toulouse mais le projet butte sur l'Ă©tat des sous-sols du terrain, achetĂ© le 28 mai 2009 par la ville au Giat, pour la coquette somme de 26,7 millions d'euros. La dĂ©pollution du terrain du Giat n'est pas Ă la hauteur de ce que nous attendions, surtout au prix oĂą nous l'avons achetĂ© », dĂ©clare Pierre Cohen, le dĂ©putĂ© maire de Toulouse Il y a un contentieux Ă ce sujet. Il serait dommage qu'un Ă©coquartier soit rĂ©alisĂ© sur un terrain mal dĂ©polluĂ©. Ce serait vraiment un paradoxe d'avoir les mĂŞmes dĂ©convenues que sur le cancĂ©ropĂ´le, oĂą nous n'avons pas le droit de construire une crèche car les sols ne sont dĂ©polluĂ©s que jusqu'Ă une certaine profondeur. » On veut une qualitĂ© optimale des sols et sous-sols », explique RĂ©gis Godec, l'adjoint Vert chargĂ© des Ă©coquartiers, les 160 sondages complĂ©mentaires commandĂ©s par la ville ont donnĂ© des rĂ©sultats diffĂ©rents des Ă©lĂ©ments donnĂ©s par le vendeur, avec la prĂ©sence de mĂ©taux lourds, notamment du mercure. Le maire a Ă©crit au prĂ©fet pour lui demander d'ĂŞtre très regardant sur la qualitĂ© des sols ». La ville veut obtenir le financement par le Giat de la dĂ©pollution des zones Ă©ventuellement touchĂ©es. Le vendeur a la charge de vendre un terrain dĂ©polluĂ© », souligne l'adjoint. Le projet de la Cartoucherie remonte Ă juin 2006, date de la crĂ©ation de la Zac zone d'activitĂ©s sur l'ancien site industriel. Le projet urbain initial, avec un mur d'immeuble de dix Ă©tages longeant l'avenue de Grande-Bretagne, a Ă©tĂ© modifiĂ© par la nouvelle municipalitĂ©, en concertation avec les riverains. Le nouveau projet d'Ă©coquartier, conçu par les urbanistes Alain Marguerit et Bernard Paris, est plus harmonieux, mais comprend quatre tours de 16 Ă©tages prĂ©vues Ă l'entrĂ©e, cĂ´tĂ© pĂ©riphĂ©rique. Le tram dessert dĂ©jĂ le site, avec deux stations Casselardit et Cartoucherie. Habitat, bureaux, activitĂ©s, commerces, Ă©quipements publics crèche, Ă©cole, Ă©cole rĂ©gionale regroupant les Ă©coles toulousaines de santĂ© et projet culturel majeur dans les anciennes halles sont prĂ©vus dans ce projet dont les constructions devront respecter les normes les plus restrictives en matière de performance Ă©nergĂ©tique et de dĂ©veloppement durable chauffage par l'incinĂ©rateur du Mirail, eau chaude sanitaire par panneaux solaires, auto en souterrain ou dans des silos pĂ©riphĂ©riques, coulĂ©es vertes piĂ©ton cycles. Aucun retard ne sera pris mais le phasage tiendra compte de la dĂ©pollution », assure RĂ©gis Godec, qui annonce la maison du projet pour 2012 et des premiers bâtiments dĂ©but 2014. ÉvĂ©nement majeur, le congrès europĂ©en des ECO TECHNOLOGIES POUR LE FUTUR » fĂ©dère les acteurs de l’environnement autour des principales Ă©volutions et innovations technologiques mondiales. Ces 3 jours de dĂ©bats et d’échanges sont une occasion unique pour anticiper, comprendre et s’informer sur les dĂ©veloppements en cours ou Ă venir dans ce secteur. Ces journĂ©es seront rythmĂ©es par des tĂ©moignages et des mises en avant d’expĂ©riences remarquables de grands industriels, centres de recherches et experts français et internationaux. Les interventions Ă©voqueront les rĂ©sultats de recherches ou les dernières innovations en matière de analyse en cycle de vie, recyclage et valorisation des matières et matĂ©riaux, gestion et valorisation des sĂ©diments, Ă©nergies renouvelables, Ă©co-construction. Les 7, 8 et 9 juin 2011 Ă Lille Grand Palais. Programme et inscriptions sur Effilogis est un programme d’actions pour le dĂ©veloppement des Bâtiments Basse Consommation BBC franc-comtois, prioritairement orientĂ© sur la rĂ©novation. L’appel Ă projets rĂ©gional du programme Effilogis 2011 Particuliers porte sur la rĂ©novation de logements Ă basse consommation d’énergie dans l’habitat individuel et collectif, avec pour objectif, le respect du rĂ©fĂ©rentiel BBC-Effinergie rĂ©novation. ... Lire la suite Via leurs filiales respectives ETDE et Bouygues Immobilier, Alstom et Bouygues ont annoncĂ© la crĂ©ation d'une nouvelle sociĂ©tĂ© commune dĂ©tenue Ă parts Ă©gales dĂ©nommĂ©e Embix. EMBIX proposera une offre Ă©tendue de services Ă forte valeur ajoutĂ©e, allant de l'audit de l'Ă©co-quartier en fonction des nouvelles contraintes environnementales et rĂ©glementaires jusqu'Ă l'optimisation de la performance Ă©nergĂ©tique Ă travers des systèmes d'information s'appuyant sur les dernières technologies du Smart Grid ». Pour ce faire, la sociĂ©tĂ© bĂ©nĂ©ficiera des compĂ©tences et de l'expertise de ses fondateurs Bouygues Immobilier, promoteur rĂ©fĂ©rent en matière d'immobilier durable, a dĂ©montrĂ© sa capacitĂ© Ă devancer la rĂ©glementation Ă©nergĂ©tique du bâtiment en initiant dès 2007 le premier projet d'immeuble de bureaux de grande envergure Ă Ă©nergie positive, Green Office. A son actif Ă©galement, une expertise et un savoir-faire reconnus en termes d'amĂ©nagement de nouveaux quartiers prĂ©figurant la ville de demain ; ETDE, au travers de sa filiale de Facility Management Exprimm, apportera son savoir-faire dans la maĂ®trise de la performance Ă©nergĂ©tique et le pilotage des installations techniques des bâtiments ; Alstom Power offre des solutions uniques en termes de production Ă©lectrique distribuĂ©e et de stockage intĂ©grĂ© ; Alstom Grid dispose d'une expertise inĂ©galĂ©e en termes de pilotage de la demande Ă©nergĂ©tique et de sĂ©curitĂ© des micro-rĂ©seaux. Un contexte porteur pour les services de gestion de l'Ă©nergie La crĂ©ation de la sociĂ©tĂ© EMBIX s'inscrit dans un contexte porteur qui conduit les collectivitĂ©s locales ainsi que les propriĂ©taires, gĂ©rants et locataires de bâtiments tertiaires, Ă rechercher une offre de services permettant une optimisation environnementale et Ă©conomique de la performance Ă©nergĂ©tique. Le pilotage Ă©nergĂ©tique intelligent Ă l'Ă©chelle de l'Ă©co-quartier apparaĂ®t dĂ©sormais comme un enjeu central. Il rĂ©sulte Ă la fois de facteurs environnementaux, règlementaires, technologiques et sociologiques. L'apparition rĂ©cente dans l'environnement urbain d'Ă©nergies renouvelables solaire, mini-Ă©olien, gĂ©othermie et de nouvelles capacitĂ©s de stockage vĂ©hicule Ă©lectrique,? conjuguĂ©e Ă une montĂ©e en puissance de la dĂ©marche Ă©co-citoyenne rend plus que jamais nĂ©cessaire la maĂ®trise de la performance Ă©nergĂ©tique. Cette tendance est renforcĂ©e par la mise en oeuvre des nouvelles rĂ©glementations Ă©nergĂ©tiques tant Ă l'Ă©chelle de la France RT2012 pour les bâtiments, nouvelle organisation du marchĂ© de l'Ă©lectricitĂ©-loi NOME que sur le plan europĂ©en avec les objectifs, Ă l'Ă©chĂ©ance 2020,d'une efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique accrue de 20 %, d'une rĂ©duction de 20 % de l'empreinte carbone et d'une part de 20 % des Ă©nergies renouvelables dans la production Ă©nergĂ©tique europĂ©enne. Pour en savoir plus Bouygues Immobilier et ETDE Les EcoQuartiers un engagement fort du Grenelle L’appel Ă projets du Ministère Le palmarès EcoQuartier en chiffres et en images Le Club National EcoQuartier Le Club National EcoQuartier L’engouement de l’appel Ă projets EcoQuartier a montrĂ© l’écho d’une telle dĂ©marche auprès des collectivitĂ©s ainsi que l’intĂ©rĂŞt qu’il y avait Ă structurer la dĂ©marche et accompagner les porteurs de projet dans le temps. Les 160 dossiers d’EcoQuartiers ont certes rĂ©vĂ©lĂ© une rĂ©elle capacitĂ© d’innovation des territoires et des progrès significatifs sur les aspects techniques gestion des eaux, etc., mais ils ont Ă©galement mis en exergue certaines lacunes dans la comprĂ©hension globale des enjeux que doit adresser un EcoQuartier, et surtout des difficultĂ©s très concrètes dans la rĂ©alisation des projets sur le terrain. Un club opĂ©rationnel national EcoQuartier a ainsi Ă©tĂ© constituĂ©, rassemblant l’ensemble des porteurs de projets. L’objectif est double valoriser et diffuser les bonnes pratiques et les projets de qualitĂ© ; structurer et accompagner les maĂ®tres d’ouvrage publics dans leur projet. Il s’agit notamment d’apporter des rĂ©ponses simples et concrètes Ă des questions majeures comme l’organisation de la maĂ®trise d’ouvrage, le pilotage et le montage d’un EcoQuartier, ou encore le rĂ´le du citoyen et de l’entrepreneur en termes de gouvernance et de participation. L’adhĂ©sion au club permet aux collectivitĂ©s de bĂ©nĂ©ficier d’un accès direct Ă la diffusion des bonnes pratiques repĂ©rĂ©es dans les Palmarès. Pour cela des confĂ©rences nationales, accompagnĂ©es de visites d’opĂ©rations, sont organisĂ©es ConfĂ©rence du 24 juin 2010 Les rives de la Haute-DeĂ»le Ă Lille et Lomme, dont le thème traitĂ© Ă©tait l'eau et la biodiversitĂ© compte-rendu ConfĂ©rence du 18 octobre 2010 GINKO, EcoQuartier du lac de Bordeaux, dont le thème traitĂ© Ă©tait la sobriĂ©tĂ© Ă©nergĂ©tique compte-rendu d’échanger sur les difficultĂ©s qu’elles ont rencontrĂ©es et de rĂ©flĂ©chir ensemble aux pistes de progrès possibles pour dĂ©velopper les EcoQuartiers en France. Quatre groupes de travail nationaux thĂ©matiques se sont rĂ©unis rĂ©gulièrement tout au long de l’annĂ©e 2010 Groupe de travail n°1 l'EcoQuartier, levier vers la ville durable Groupe de travail n°2 le pilotage d'un EcoQuartier Groupe de travail n°3le citoyen et l'entrepreneur, moteurs de l'EcoQuartier Groupe de travail n°4 l'EcoQuartier en milieu rural d’être accompagnĂ©es au plus près de leur projet par des correspondants locaux ville durable » nommĂ©s fin 2010 en DREAL et en DDT. Ces derniers constituent des rĂ©fĂ©rents au plus proche du terrain et sont notamment en charge de l’organisation d’ateliers locaux EcoQuartiers. de participer au colloque final de restitution de l’ensemble des travaux du club national, qui a aboutit Ă un rapport d'activitĂ© de l'annĂ©e 2010. Pour aller plus loin PDF - 176 Ko Trois projets d'origine française, polonaise et serbe ont Ă©tĂ© rĂ©compensĂ©s hier pour la qualitĂ© de leur contenu par un jury international prĂ©sidĂ© par Bruno Lafont, PrĂ©sident-Directeur gĂ©nĂ©ral de Lafarge. Les laurĂ©ats ont reçu un prix de 20 000 € chacun ainsi qu'un support de Lafarge Ă travers un tutorat pour accompagner le dĂ©veloppement de leur invention. Lafarge Invention Awards » un concours pour favoriser et encourager l'innovationCréées en 2010, les Lafarge Invention Awards » ont pour vocation de rĂ©compenser et d'accompagner les projets de chercheurs et entrepreneurs sur les matĂ©riaux de construction en relation avec des produits, procĂ©dĂ©s industriels, mĂ©thodes de construction ou services contribuant Ă la construction durable. Le Groupe a ouvert ce concours Ă toute l'Europe en juin dernier, Ă travers une campagne d'information relayĂ©e localement auprès d'institutions universitaires, de recherche ou des chambres de commerce. Dix finalistes ont Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©s parmi plus d'une centaine de dossiers reçus en provenance de dix-huit pays. Le jury a dĂ©libĂ©rĂ© après une prĂ©sentation de chaque finaliste venu dĂ©fendre son projet hier au PĂ´le Technologique du Groupe, situĂ© Ă Saint-Quentin Fallavier, près de Lyon. Pascal Casanova, Directeur de la R&D de Lafarge, a prĂ©cisĂ© Ă cette occasion Nous pensons que toutes les contributions sont importantes pour favoriser une recherche crĂ©ative. Lafarge investit Ă©normĂ©ment dans la recherche interne au Groupe, mais ce concours illustre notre volontĂ© de nous confronter Ă©galement aux idĂ©es venant de l'externe. L'aide que nous apportons Ă ces projets permettra de dĂ©velopper de nouvelles solutions qui contribueront au changement vers une construction plus durable Ă travers de nouvelles utilisations de nos matĂ©riaux ». Suite au succès de cette première Ă©dition, le Groupe Ă©tendra prochainement ce concours Ă d'autres continents. Les laurĂ©ats Premier prix Protection, Restauration des Ouvrages maritimes & Ecosystèmes Sous-marins ou Subaquatiques - par SM2 Solutions Marines, France, reprĂ©sentĂ© par Sven-Michel LouriĂ© & Michèle Cabanis. associe un rĂ©cif artificiel composĂ© de bĂ©ton Ă base de dĂ©chets conchylicoles avec un système anti-affouillement comprenant une couche d'herbier artificiel permettant de fixer le rĂ©cif. Le système mixte est rapidement colonisĂ© par des invertĂ©brĂ©s, des algues Ă©piphytes et des poissons. Ce système favorise la biodiversitĂ© marine et les bancs de pĂŞche, tout en assurant une protection anti-affouillement aux ouvrages sous-marins tels que les Ă©oliennes offshore, les câbles et conduites sous-marines. Deuxième prix Barrière thermique - par Marek Kraczek de l'UniversitĂ© de Technologie de Gdansk en PologneLe système de barrière thermique permet de maintenir en permanence la tempĂ©rature intĂ©rieure d'un bâtiment Ă 19°C grâce Ă une technologie de chauffage/refroidissement indirects qui fournit de l'Ă©nergie non pas Ă l'air intĂ©rieur mais aux murs extĂ©rieurs du bâtiment. Le système associe un dispositif de rĂ©cupĂ©ration de l'Ă©nergie solaire en toiture et un circuit de stockage de la chaleur au sol pour chauffer des tubes en U en polypropylène disposĂ©s Ă l'intĂ©rieur des murs extĂ©rieurs. Cette disposition permet de rĂ©duire les Ă©carts de tempĂ©rature dans les murs extĂ©rieurs, limitant ainsi les dĂ©perditions d'Ă©nergie. Troisième prix Nouvelle technologie de construction avec un système de panneaux en bĂ©ton prĂ©fabriquĂ© Ă isolation continue - par M. Jovan Nikolic de Quattro Construction en SerbieCette technologie innovante de construction fait appel Ă un système de panneaux en bĂ©ton armĂ© prĂ©fabriquĂ© avec isolation interne, Ă©vitant les ponts thermiques* et amĂ©liorant ainsi l'efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique. Des outils multifonctionnels sont utilisĂ©s pour fabriquer des panneaux de diverses dimensions avant l'installation sur site. Le raccordement des panneaux assure l'isolation du bâtiment Ă la fois mur / mur » mais aussi mur / plafond », rĂ©duisant la consommation d'Ă©nergie de l'ordre de 80 % grâce Ă la suppression des ponts thermiques. De plus amples informations sur le concours sont disponibles sur The Lafarge Invention Awards 2010The first edition of the Lafarge Invention Awards was launched in June 2010, to reward and accompany inventive projects being developed by European researchers and entrepreneurs, related to building materials and contributing to sustainable construction. The competition attracted more than 100 entries, from 18 different European countries. Commment concevoir un projet d’EcoQuartier ? com_de_presse-EcoQuartier programme_ecoQuartier ConfĂ©rence sur les EcoQuartiers du 8 Novembre, diaporamas des interventions de la journĂ©e Quelle mĂ©thode pour la mise en oeuvre d’EcoQuartiers en milieu rural et urbain ? » de Christian Charignon, agence d’architecture TekhnĂŞ. 10-11-08_chirstian_charignon Introduction de François Bellouard, responsable du Service dĂ©veloppement durable Ă la Direction rĂ©gionale de l’environnement, de l’amĂ©nagement et du logement DREAL Bourgogne, 101020_françois_bellouard Qu’est-ce qu’un Ă©coquartier en Europe, en France, en Bourgogne » de Marc Dauber, agence dauber architecte,101108_marc_dauber Ces maisons sont tellement bien isolĂ©es qu’elles ne consomment quasiment rien en Ă©nergie et coĂ»teront moins de 250 € de chauffage par an, contre 900 pour une maison traditionnelle et 2000 pour les poubelles Ă©nergĂ©tiques. » Benoist Apparu s’est fait l’apĂ´tre des logements Ă©cologiques, hier matin Ă SĂ©nart. Le secrĂ©taire d’Etat au Logement a visitĂ© deux Ă©coquartiers en cours d’amĂ©nagement l’Eau-Vive Ă Lieusaint — et notamment ses 31 habitations sociales en construction par les Foyers de Seine-et-Marne — et la Plaine-du-Moulin-Ă -Vent Ă Cesson, oĂą Nexity vient de livrer 49 appartements et maisons. Certes, ces logements coĂ»tent plus cher Ă construire, mais ils sont plus Ă©conomiques pour leurs habitants », a prĂ©cisĂ© le a Ă©tĂ© conçu pour rĂ©duire la facture d’énergie Ici, ils ne consommeront que 44 kWh/m2 par an », a indiquĂ© Olivier Barry, directeur gĂ©nĂ©ral des Foyers de Seine-et-Marne, Ă Benoist Apparu. C’est infĂ©rieur Ă la norme bâtiment basse consommation BBC », a ajoutĂ© Michel Bisson, le maire de Lieusaint PS et prĂ©sident de l’EPA SĂ©nart. Eau chaude solaire, toits vĂ©gĂ©talisĂ©s, rĂ©cupĂ©ration d’eau de pluie, plafonds chauffants en bois, orientation des fenĂŞtres vers le sud… Tout y a Ă©tĂ© conçu pour rĂ©duire la facture d’énergie. Notamment l’isolation, ultrarenforcĂ©e. Comme l’ont prouvĂ© les tests d’étanchĂ©itĂ© rĂ©alisĂ©s devant le secrĂ©taire d’Etat dans un pavillon de Cesson. Une maison traditionnelle laisse passer 1,3 m3 d’air par heure et par mètre carrĂ©. Ces constructions n’en laissent passer que 0,6, expliquait Franck Durand, responsable de diagnostics Ă©nergĂ©tiques. Cette Ă©tanchĂ©itĂ© Ă©conomise l’équivalent de l’électricitĂ© dĂ©pensĂ©e par un convecteur de 1000 W qui chaufferait dehors dans un jardin! » Au 1er janvier 2013, toutes les constructions neuves seront dans ces normes », a soulignĂ© Benoist Apparu. L’Etat lancera un 2e appel Ă projets d’écoquartiers le 19 janvier 2011. L’EPA SĂ©nart envisage d’y rĂ©pondre, une fois les collectivitĂ©s locales consultĂ©es et après validation par le conseil d’administration, le 16 dĂ©cembre. Elle proposerait le quartier de l’Eau-Vive, Ă Lieusaint. A la clĂ© d’importants financements. Le gouvernement a dĂ©bloquĂ© 1 milliard d’euros pour 13 sites en France retenus lors de son premier appel Ă une friche industrielle avec son marchĂ© de gros, sa fabrique de goudron, son usine Ă gaz et son port Rambaud. Le territoire de La Confluence, 150 hectares au sud de la presqu’île lyonnaise, longtemps consacrĂ© Ă l’industrie et aux transports, est entrĂ© en mutation. Hier gagnĂ© sur les eaux, ce site, bordĂ© par le RhĂ´ne et la SaĂ´ne, ambitionne de doubler la superficie de l’hypercentre de l’agglomĂ©ration», explique BenoĂ®t Bardet, porte-parole de Lyon Confluence. PrĂ©vue en trois phases, la construction du nouveau quartier se veut exemplaire Ă maints Ă©gards, notamment d’un point de vue architectural et environnemental. La première phase est en cours d’achèvement 40 hectares rĂ©partis entre logements, bureaux, commerces et Ă©quipements, dont 25 hectares dĂ©diĂ©s Ă la nature et 500 arbres nouvellement plantĂ©s. L’Union europĂ©enne a injectĂ© quatre millions d’euros dans le projet Ă travers le programme Concerto», visant Ă encourager les collectivitĂ©s territoriales Ă dĂ©velopper des projets urbains exemplaires en matière d’efficacitĂ© Ă©nergĂ©tique et d’emploi des Ă©nergies renouvelables. Ainsi, les 660 logements nouvellement construits sont conçus pour Ă©conomiser 50% de chauffage, 50% d’électricitĂ© et 37% d’eau chaude sanitaire, ainsi que pour permettre la couverture de 80% des besoins Ă©nergĂ©tiques par les Ă©nergies renouvelables chaufferies collectives Ă bois, panneaux solaires thermiques et photovoltaĂŻques intĂ©grĂ©s en toiture. Confluence est d’ailleurs le tout premier quartier durable Ă ĂŞtre labellisĂ© par le WWF en France. Pour y parvenir, il a fallu d’abord former les ouvriers du bâtiment puis, aujourd’hui, les habitants, afin de ne pas dĂ©passer une consommation de 60 kWh par m² et par an, souligne Maxime Valentin, chef de projet Lyon Confluence. La seconde phase du projet a Ă©tĂ© confiĂ©e aux architectes-urbanistes suisses Herzog & de Meuron. Des bâtiments Ă Ă©nergie positive, c’est-Ă -dire produisant plus d’énergie qu’ils n’en consomment, sont Ă l’ordre du jour. A Paris 20e, dans l'Ă©coquartier FrĂ©quel-Fontarabie en cours d'amĂ©nagement sous la direction d'Eva Samuel, architecte-coordinatrice, et de la SIEMP, amĂ©nageur, l'architecte Pascal Gontier livre le premier immeuble collectif parisien de dix-sept logements sociaux conforme aux exigences PassivHaus deux Ă©difices aux façades revĂŞtues de mĂ©lèze et d'acier autopatinable. Le bâtiment est inaugurĂ© ce jeudi 25 novembre. Photo n° 1/5 - © Stephan Lucas / Groupe Moniteur L'immeuble PassivHaus de Pascal Gontier dans l'Ă©coquartier FrĂ©quel-Fontarabie Paris XXe. Les deux volumes compacts revĂŞtus de bois de mĂ©lèze prennent place dans le chantier du futur Ă©coquartier. Passage & zac Frequel 75020 / architecte Pascal Gontier / 3 aout 2010 Bouygues Immobilier propose un web documentaire, outil pĂ©dagogique innovant, pour faire dĂ©couvrir aux internautes l’univers du BBC Bâtiment Basse Consommation. Bouygues Immobilier a Ă©tĂ© le premier promoteur Ă se lancer, dès juillet 2010, avec plus de deux ans et demi d’avance par rapport Ă la règlementation, dans la labellisation BBC-Effinergie de l’ensemble de ses nouveaux programmes de logements. Conscient de la nĂ©cessitĂ© de sensibiliser et d’informer ses clients, et plus largement le public sur les potentialitĂ©s, les atouts et les exigences de ce label BBC-Effinergie, Bouygues Immobilier vient de se doter d’un outil pĂ©dagogique sur le web avec unsite internet “ Lire la suite Vincent Renauld "Et si l’écoquartier Ă©tait une utopie..." Le Point Quel mode de vie les Ă©coquartiers attendent-ils de la part des futurs habitants ? Vincent Renauld Il s'agit d'abord d'une nouvelle façon d'habiter, car les bâtiments performants Ă©nergĂ©tiquement supposent des comportements bien spĂ©cifiques de la part des futurs usagers. Dans les logements, le type de ventilation double flux fonctionne uniquement si l'on n'ouvre ses fenĂŞtres que très rarement, pas plus de quelques minutes en hiver et en demi-saison. C'est donc tout le rapport Ă la rue qui se trouve modifiĂ©. De plus, avec l'isolation par l'extĂ©rieur, le recours aux radiateurs diminue. Il s'agit, en se passant de cette source de chaleur, d'accepter 19 °C comme tempĂ©rature de confort. Ce changement de comportement est encadrĂ© par des sĂ©ances pĂ©dagogiques et la remise d'un "guide de bonnes pratiques" Ă l'arrivĂ©e des habitants. Au nom du dĂ©veloppement durable, l'habitant se doit ainsi de prĂ©fĂ©rer la douche au bain ou encore de choisir tel type d'Ă©lectromĂ©nager. Ă€ l'Ă©chelle du bâtiment, on remarque la prĂ©sence de balcons en vis-Ă -vis ou de terrasses sur les passerelles collectives. A l'image des cultures nordiques des premiers Ă©coquartiers, plus favorables au contrĂ´le social, ce sont alors les frontières de l'espace privĂ© qui se trouvent dĂ©placĂ©es. Les usagers font-ils de la rĂ©sistance ? Les premiers retours sont essentiellement Ă l'Ă©chelle du bâtiment et montrent des rĂ©sistances culturelles et sociales importantes de la part des habitants. L'ouverture des fenĂŞtres reste très ancrĂ©e dans l'usage quotidien et la culture latine, pour faire entrer le soleil, entendre les bruits de la ville, discuter, s'accouder, sans oublier l'imaginaire social comme l'Ă©vacuation symbolique des miasmes au rĂ©veil. Le besoin d'aĂ©ration ressenti par les usagers s'oppose alors Ă la ventilation technique du bâtiment. Les habitants des Ă©coquartiers reconstituent aussi les frontières de leur espace privĂ© et installent des canisses, plantes ou voilages sur les balcons au vis-Ă -vis menaçant, afin de se protĂ©ger du regard des autres. D'autres abandonnent leur terrasse au profit du stockage ou encore d'un espace purement dĂ©coratif. La distance constatĂ©e entre les attentes sur les comportements et la rĂ©alitĂ© des habitudes, culturelles ou sociales, renvoie historiquement les Ă©coquartiers aux utopies urbaines et questionne ainsi leur pĂ©rennitĂ©. Vincent Renauld est chercheur sur les Ă©coquartiers Insa Lyon/SCET CDC. Par Bruno Monier-Vinard Quand nos villes seront vertes le chantier des Ă©coquartiers. Ecoquartiers, la ville en vert portfolio OĂą les construire ? Avec quels matĂ©riaux ? Comment les peupler ? Sans mode d'emploi, des Ă©lus toujours plus nombreux dĂ©frichent le terrain des Ă©coquartiers. EnquĂŞte sur une utopie en chantier. ghettoĂŻsĂ©es, quartiers pavillonnaires clonĂ©s, zones commerciales anarchiques... Et pour relier le tout, toujours plus de routes, de ronds-points, de bretelles. L'urbanisme Ă la française est un dĂ©sastre, cela commence Ă se dire. TĂ©lĂ©rama l'Ă©voquait en dĂ©but d'annĂ©e. France 2 embrayait peu après dans ComplĂ©ment d'enquĂŞte, suivi d'un numĂ©ro du Point dĂ©nonçant l'empire des grandes surfaces bâti grâce Ă la connivence douteuse » de certains maires. Quant aux images des inondations mortelles en VendĂ©e ou dans le Var, elles resteront comme le symbole de cette urbanisation sans contrĂ´le. Dans ce paysage peu rĂ©jouissant, voilĂ que pointe un peu d'espoir l'Ă©coquartier ! Chaque Ă©lu, chaque candidat en a un dans ses cartons. Et bientĂ´t, chaque promoteur, avec jolie plaquette sur papier glacĂ© Ă l'appui ! Ce petit bout d'utopie oĂą ville et nature cohabitent en harmonie est nĂ© en Europe du Nord Ă la fin des annĂ©es 1980, en opposition Ă l'urbanisme du tout-voiture et du gaspillage Ă©nergĂ©tique. Dans les annĂ©es 2000, la lutte contre le rĂ©chaufÂfement climatique l'a popularisĂ©. L'un après l'autre, nos Ă©lus ont fait le voyage pour Beddington près de Londres, Fribourg en Allemagne, Malmö en Suède. Ils ont dĂ©couvert des immeubles Ă©tranges qui ressemblent parfois Ă des serres, avec des panneaux solaires sur les toits. Certains sont revenus convertis et se sont lancĂ©s, comme Ă Grenoble ou Ă Dunkerque lire encadrĂ©s. D'autres les suivent, toujours plus nombreux, dĂ©sormais pressĂ©s par le Grenelle de l'environnement qui recommande la construction d'un Ă©coquartier avant 2012 dans toutes les communes qui ont des programmes de dĂ©veloppement de l'habitat significatifs ». D'ici Ă quelques annĂ©es, des dizaines d'Ă©coquartiers vont sortir de terre. Ce volontarisme vert est plutĂ´t rĂ©jouissant, mĂŞme si l'on se doute bien que, dans certaines villes, il servira surtout Ă capter les voix Ă©colos aux prochaines Ă©lections. En rĂ©alitĂ©, on ne sait pas trop ce que le concept va donner. Personne ne sait d'ailleurs dĂ©finir avec prĂ©cision ce qu'est un Ă©coquartier. Loin d'ĂŞtre une solution miracle, il faut plutĂ´t le voir comme une parenthèse que certains ouvrent pour dire on va fabriquer la ville autrement, expĂ©rimenter, innover, avec le droit de se tromper et de bifurquer en cours de route », explique l'architecte-urbaniste Taoufik Souami, auteur d'un livre, Ecoquartiers, secrets de fabrication, qui montre que, entre les belles idĂ©es sur le dĂ©veloppement durable et leur mise en application, tout ne se passe pas toujours comme prĂ©vu. D'abord, oĂą le mettre, cet Ă©coquartier ? De prĂ©fĂ©rence en ville, s'il reste de la place, sur une friche industrielle par exemple. N'oublions pas que l'objectif est de lutter contre l'Ă©talement urbain ! Ce qui n'empĂŞche pas certains Ă©coquartiers de pousser en plein champ... En principe, la voiture n'y est plus reine. Pas Ă©vident en pratique difficile de vendre des logements sans parking souterrain et d'obliger habitants et visiteurs Ă se garer Ă l'extrĂ©mitĂ© du quartier. Les amĂ©nageurs de la zone d'amĂ©nagement concertĂ©e de Bonne, Ă Grenoble, n'y sont pas parvenus. Et au Grand Large, Ă Dunkerque, la voirie partagĂ©e piĂ©tons-autos, sans trottoir, Ă l'allemande, ne fonctionne pas très bien pour l'instant. Ce qui est au point, en revanche, ce sont les solutions pour Ă©conomiser l'Ă©nergie. A condition de repenser toute la construction. Le bâtiment logement et bureaux est en France le troisième producteur de gaz Ă effet de serre, après les transports et l'industrie. Pour le rendre vertueux », il faut concevoir des immeubles compacts, bien orientĂ©s. Des immeubles sans ponts thermiques », ces points faibles par oĂą la chaleur s'en va. Pour cela, souvent, on isole par l'extĂ©rieur. De façon rudimentaire une couche de mousse ou de laine de verre pas très Ă©colo, fixĂ©e sur du bĂ©ton, et cachĂ©e par un fragile placage ou un bardage. L'eau est chauffĂ©e grâce aux panneaux solaires, la ventilation est Ă double flux l'air viciĂ© intĂ©rieur rĂ©chauffe l'air frais entrant, la gĂ©othermie rĂ©gule les tempĂ©ratures. Dans le meilleur des cas, l'immeuble devient Ă Ă©nergie positive » il produit plus qu'il ne consomme ! Ce devrait ĂŞtre le cas de la halle Pajol, Ă Paris, la plus grande centrale solaire de centre-ville en France », conçue par Françoise-HĂ©lène Jourda. Grande spĂ©cialiste de l'Ă©coconstruction, cette architecte milite pour l'utilisation gĂ©nĂ©ralisĂ©e du bois, bien meilleur isolant que le bĂ©ton L'accroissement annuel de la forĂŞt europĂ©enne permettrait de rĂ©pondre Ă tous les besoins de construction partout en Europe », argumente-t-elle. De plus, le bois aiderait Ă bâtir une ville recyclable, facilement Ă©volutive ! Mais il va falloir structurer un secteur du bois balbutiant, et batailler contre une puissante filière française du bĂ©ton Vinci et Bouygues sont les deux leaders mondiaux du bâtiment, Lafarge le numĂ©ro 1 mondial du ciment qui utilise tous les arguments pour retarder cette Ă©volution. Les gĂ©ants de la construction l'ont mauvaise, analyse Taoufik Souami. Pendant des dĂ©cennies, la France leur a demandĂ© de devenir les meilÂleurs et, du jour au lendemain, ils s'entendent dire vous arrĂŞtez tout ça, vous reprenez la copie Ă zĂ©ro ! » Car l'Ă©coconstruction est l'enjeu d'une bagarre Ă©conomique Ă coups de procĂ©dures et de labels aux intitulĂ©s ronflants HQE haute qualitĂ© environnementale, le plus connu, BBC bâtiment basse consommation, obligatoire en 2013, THPE très haute performance Ă©nergĂ©tique... Nous sommes envahis par les normes, c'est une catastrophe. Plus personne ne sait s'y retrouver », dĂ©plore Françoise-HĂ©lène Jourda. D'autant qu'un bâtiment HQE peut ne pas ĂŞtre du tout de haute qualitĂ© environnementale il suffit d'ĂŞtre très performant » dans trois critères sur quatorze pour obtenir la certification ! Le fond de l'affaire, c'est que HQE n'est pas vraiment une norme mais une marque dĂ©posĂ©e par les fabricants de matĂ©riaux. Arnaque inique », dĂ©nonce l'architecte Rudy Ricciotti dans un pamphlet cinglant. Mais, HQE ou pas, la construction neuve ne reprĂ©sente que 1 % du parc immobilier, rappelle Françoise-HĂ©lène Jourda. Ce n'est pas ça qui va rĂ©duire les Ă©missions de gaz Ă effet de serre ! Elle a valeur d'exemple, bien sĂ»r, mais si on veut vraiment ĂŞtre efficace, l'urgence est de rĂ©habiliter les bâtiments existants, de soigner la ville ! » Le Grenelle de l'environnement se fixe d'ailleurs pour objectif la rĂ©novation de huit cent mille logements sociaux. On en est Ă quarante mille... LĂ oĂą la rĂ©glementation europĂ©enne et notamment française tire le marchĂ© de l’éco-construction, aux Etats-Unis se sont essentiellement les effets marketing et les initiatives locales qui sont moteurs de l’innovation. Cette distinction a un impact majeur les innovations amĂ©ricaines du secteur se concentrent autour de produits industriels essentiellement pour le second Ĺ“uvre comme la robinetterie Ă©conomique, la gestion Ă©lectronique des consommations ou les matĂ©riaux isolants. Très frĂ©quentĂ©, le salon GreenBuild de Chicago constitue une vitrine marketing incontournable pour ĂŞtre reconnu dans ce secteur du Green Building » aux Etats-Unis. Retour sur son Ă©dition 2010 qui se dĂ©roulait du 17 au 19 novembre dernier. Renforcer l’efficacitĂ© des chantiers de dĂ©construction Sur le modèle amĂ©ricain, l’exposition GreenBuild s’accompagne d’un nombre impressionnant de confĂ©rences. Bien choisies, elles fournissent de vĂ©ritables Ă©tudes de cas, apprĂ©ciables pour leurs spĂ©cificitĂ©s et les idĂ©es qu’elles transmettent. Une intervention de Mark Lennon de l’Institution Recycling Network, lors de la session technique Deconstruction, Reuse and C&D Recycling », souligne que loin d’être insurmontable, l’efficacitĂ© et le taux de recyclage sur un chantier de dĂ©mantèlement peuvent ĂŞtre très Ă©levĂ©s, la clef rĂ©sidant presque exclusivement dans la formation des ouvriers ». Un bon concept Ă dĂ©velopper et ramener en France selon la reprĂ©sentante du pĂ´le de compĂ©titivitĂ© nantais GĂ©nie Civil Ecoconstruction. Des normes Ă©nergĂ©tiques qui doivent Ă©voluer Les labels Green sont nombreux, on retiendra principalement la fameuse certification LEED - Leadership in Energy and Environmental Design - mais il reste un manque notable d’obligations rĂ©glementaires fĂ©dĂ©rales pour la construction. Les normes d’isolation amĂ©ricaines sont par exemple nettement infĂ©rieures Ă celles imposĂ©es en Europe. De plus, la recherche en termes de conception verte Ă l’échelle du bâtiment et ses applications sont minimes orientation, ventilation, intĂ©gration environnementale. Il y a pourtant aujourd’hui un consensus, rare aux États-Unis, autour des enjeux Ă©nergĂ©tiques besoin d’indĂ©pendance, pollution atmosphĂ©rique et une volontĂ© d’agir. Ainsi les transports, la distribution, le mix Ă©nergĂ©tique semblent ĂŞtre les cibles principales des industrielles et des Etats. VĂ©hicules hybrides ou Ă©lectriques, Smart Grid, Ă©nergie solaire, Ă©oliennes et biocarburants ont la cĂ´te. Les amĂ©liorations en termes de construction - qui ont pourtant un impact considĂ©rable sur les consommations Ă©nergĂ©tiques aux Etats-Unis - ne semblent pas prioritaires. Pour palier ce manque d’exemplaritĂ©, le gouvernement fĂ©dĂ©ral prend des engagements pratiques plus ambitieux d’ici Ă 2030, tout nouveau bâtiment fĂ©dĂ©ral devra ainsi ĂŞtre Ă Ă©nergie positive. Un marchĂ© Ă conquĂ©rir pour les entreprises françaises Pavillon français - Salon GreenBuild Dans ce sens, la France n’a pas Ă avoir de complexes. L’importante dĂ©lĂ©gation française d’exposants et de participants prĂ©sente Ă Chicago montre d’ailleurs la place que pourrait prendre l’Hexagone outre-Atlantique sur ces sujets. Le bureau d’études ITF - IngĂ©nierie Tous Fluides - rĂ©vèle un savoir-faire et une vraie expertise en termes de rĂ©novation verte » de bâtiments existants, un marchĂ© estimĂ© Ă 15 milliards de dollars d’ici 2014 par l’agence McGraw – Hill. Les itĂ©rations en termes de certification, labellisation et systèmes de mesure multi-paramètres de l’efficacitĂ© sont nombreuses et dĂ©montrent l’activitĂ© et l’intĂ©rĂŞt français autour de ce secteur. Le tout rĂ©cent France Green Building Council fĂ©dère cet Ă©cosystème riche en entreprises innovantes. De ce dynamisme pourrait naĂ®tre un nouveau leadership français. Un premier signe ? Sous la marque Aqua, le BrĂ©sil vient tout juste d’adopter la certification HQE pour certifier ses propres Ă©co-bâtiments. Bio express de l’auteur Nathalie Mettling, ChargĂ© de dĂ©veloppement Environnement Ă Ubifrance, San travaille plus particulièrement dans les domaines de l’eau, de l’air et des dĂ©chets. La MaĂ®trise Ă©nergĂ©tique et technique des bâtiments », Interview Fabienne GASTAUD, Directrice GĂ©nĂ©rale, WIT. Le bâtiment reste de loin le secteur le plus consommateur d'Ă©nergie, reprĂ©sentant, Ă lui seul, plus de 40% des dĂ©penses en Ă©nergie de la France. Agir sur les Ă©conomies d’énergie dans ce secteur est donc essentiel pour remplir l'objectif de rĂ©duction par 4 des Ă©missions de gaz Ă effet de serre d’ici Ă 2050. Et dans ce contexte, au-delĂ , des procĂ©dĂ©s d’automatisation, d’optimisation, l’axe de progrès principal rĂ©side dans l’action humaine des gestionnaires de Bâtiment. En effet, il faut leur donner le pouvoir et les moyens de piloter leurs consommations d’énergie ! La finalitĂ© des solutions de gestion EnergĂ©tique et technique est de leur fournir le Tableau de Bord EnergĂ©tique de leur Bâtiment. Celui-ci va leur permettre de rĂ©pondre Ă des questions essentielles telles que - OĂą et quand consommons-nous? - Comment rĂ©duire? - Quels sont nos modes de consommation?- Comment anticiper ? Ainsi, Ă l’heure d’une conscience accrue en matière de consommation d’énergie et de protection des ressources naturelles, la diffĂ©rence va se faire sur la mise Ă disposition de solutions pour l’aide au pilotage » des consommations. Comment l’offre de WIT peut elle rĂ©pondre Ă ces enjeux ? Nous profitons de notre expĂ©rience de plus de 25 ans dans la tĂ©lĂ©gestion d’installations techniques qui nous vaut une parfaite connaissance des besoins du terrain. Nous avons ainsi pu faire Ă©voluer notre offre, en l’étoffant avec tout un ensemble d’élĂ©ments visant Ă agir sur les consommations fonctions de rĂ©gulation, dĂ©lestage, tĂ©lèrelève » des compteurs, planification des pĂ©riodes d’occupation, automatisation de process, dĂ©tection de fuites… . Il s’agit Ă prĂ©sent de proposer une approche globale, avec de nouvelles fonctions permettant de comprendre l’usage de l’énergie, d’anticiper les consommations, de contrĂ´ler l’impact des actions correctives mises en Ĺ“uvre. Plus simplement, le gestionnaire possède la vision Ă©nergĂ©tique globale de son installation et va donc agir en toute connaissance de cause ! Quelles sont vos perspectives de dĂ©veloppement dans ce domaine de la maĂ®trise de la consommation d’énergie ? WIT est en expansion, avec une croissance de l’ordre de 15% en 2009 et de nombreux projets en cours ou dans le pipeline, tant en innovation technologique qu’au niveau de notre approche commerciale. Nous profitons de cette dynamique de croissance pour essayer Ă notre niveau, de faire Ă©voluer les mentalitĂ©s. Les produits/solutions actuels sont trop considĂ©rĂ©s comme des consommables, ce qui dĂ©valorise leur impact et leur nĂ©cessitĂ©. Trop souvent, ils ne sont pas reconnus au dĂ©marrage du projet par les acteurs du marchĂ© et viennent se greffer après la construction, impliquant un coĂ»t d’intĂ©gration plus important et une mise en Ĺ“uvre plus longue. Or, la mise en Ĺ“uvre de solutions de maĂ®trise Ă©nergĂ©tique doit ĂŞtre systĂ©matique, incontournable et durable ! Nous rĂ©flĂ©chissons donc Ă des nouveaux moyens pour les constructeurs de les financer. Pourquoi ne pas intĂ©grer ces solutions comme des prestations de services avec, comme les autres corps d’état du bâtiment, une garantie dĂ©cennale sur leur fonctionnement ? A propos de WIT Créée en 1984 et spĂ©cialisĂ©e dans les matĂ©riels de tĂ©lĂ©gestion appliquĂ©s Ă la maĂ®trise de diffĂ©rents fluides eau, air, Ă©nergies, WIT s’est lancĂ©e dans une nouvelle gamme de produits visant Ă amĂ©liorer la maĂ®trise de la consommation Ă©nergĂ©tique. En FĂ©vrier 2009, elle a reçu le Prix ResponsabilitĂ© SociĂ©tale de l’Entreprise pour la RĂ©gion PACA pour sa politique sociĂ©tale irrĂ©prochable et l’implication de l’ensemble de l’entreprise pour le DĂ©veloppement Durable. ImplantĂ©e Ă St Laurent du Var, WIT a dĂ©ployĂ© ses activitĂ©s sur l’ensemble du bassin sud europĂ©en France, Espagne, Italie et Suisse. En savoir plus Du 17 au 19 novembre 2010 Ă Strasbourg Dans le cadre du Forum des Ă©co-quartiers, la CommunautĂ© urbaine de Strasbourg a souhaitĂ© organiser les JournĂ©es europĂ©ennes des Ă©co-quartiers du 17 au 19 novembre 2010. Ces trois journĂ©es d’étude proposeront d’approfondir les dĂ©bats sur la ville durable en mobilisant des expĂ©riences pionnières et innovantes, en France et en Europe, et en associant les porteurs de ces La sociĂ©tĂ© danoise Valbaek Architectes Borup a mis sur le marchĂ© une nouvelle maison prĂ©fabriquĂ©e, un savant mĂ©lange entre maison au design contemporain avec des caractĂ©ristiques Ă©minemment durables. lire la suite A l'image de la politique lancĂ©e par Veolia Environnement en fĂ©vrier dernier, avec son Veolia Innovation Accelerator, le gĂ©ant amĂ©ricain General Electric, lance le GE Ecomagination Challenge un appel Ă proposition Ă l'Ă©chelle mondiale tournĂ© exclusivement vers les rĂ©seaux intelligents, le smartgrid, un secteur oĂą le groupe est dĂ©jĂ très dynamique. Le but trouver et soutenir des idĂ©es dans trois grands secteurs sous-jacents les Ă©nergies renouvelables, les rĂ©seaux et les Ă©co-bâtiments. GE announces a $200 million challenge to find and implement ideas that can modernize the power grid, right Information Ecomagination Web Site GE ecomagination Jean-Louis Borloo et Benoist Apparu ont tenu une confĂ©rence de presse sur le dossier RT 2012. Sujet phare du Grenelle de l'environnement car le secteur du bâtiment reprĂ©sente un portentiel d'Ă©conomies d'energie vous propose de prendre connaissance des documents distribuĂ©s lors de cette confĂ©rence de presse le dossier de presse et la convention passĂ©e entre le Ministère du dĂ©veloppement durable et les professionnels du secteur. Cahors. La maison Ă "Ă©nergie 0" arrive dans le LotComme ça, la maison passive semble ordinaire. CrĂ©pi rose, volets vernis et 95 m2 au sol. Mais quand on se penche dessus, c'est alors que ce bâtiment qui devrait rĂ©duire la facture d'eau et d'Ă©lectricitĂ© de 80%, rĂ©vèle ses particularismes. Pièce importante le cellier ». Murs 50 centimètres d'Ă©paisseur, comme dans une grange. Et puis, un minimum de chauffage poĂŞle plus un convecteur dans la salle de bain. Le principe d'une maison est de consommer le moins d'Ă©nergie possible en chauffage », dĂ©crypte-t-on Ă l'Agence de l'environnement et de la maĂ®trise de l'Ă©nergie ADEME. Jeudi, Ă 11 heures, on inaugurera Ă LabĂ©raudie la première maison de ce type dans le Lot. La SNCF a achevĂ© les travaux de sa première gare Ă©cologique situĂ©e Ă Achères dans les Yvelines. C'est la première gare construite en France qui respecte les normes très strictes du label de haute qualitĂ© environnementale HQE. La SNCF dĂ©cidĂ© de choisir ce site afin de montrer Ă quoi ressembleront la plupart des gares Ă l'avenir et les futures lignes de TGV. La SNCF a mobilisĂ© des moyens techniques importants afin de rendre ce bâtiment le moins Ă©nergivore possible avec un soin tout particulier apportĂ© Ă la consommation Ă©lectrique et Ă l'eau des sanitaires. La gare a Ă©tĂ© Ă©quipĂ©e d'un toit photovoltaĂŻque pour produire l'Ă©lectricitĂ© consommĂ©e par la gare. Des panneaux solaires thermiques ont Ă©galement Ă©tĂ© installĂ©s afin de chauffer l'eau des sanitaires et l'eau de pluie est acheminĂ©e dans une cuve de rĂ©cupĂ©ration d'eau de pluie pour alimenter les toilettes de la gare. Cette nouvelle gare Ă©cologique devrait consommer 65% d'Ă©nergie en moins que l'ancien bâtiment, sa consommation d'eau sera rĂ©duite de 60% et ses Ă©missions de gaz Ă effet de serre seront rĂ©duites de 75%, ce qui Ă©quivaut aux rejets d'une voiture roulant 90 000 kms deux fois le tour de la terre !. Toutes ces Ă©conomies d'Ă©nergie sont mentionnĂ©s sur des panneaux accrochĂ©s aux murs de la gare et montre la rĂ©elle stratĂ©gie de communication de la SNCF autour de cette gare et de son engagement pour la protection de l'environnement. Arep livre sa première gare bioclimatique dans l'Ain Pour la gare TGV de Bellegarde-sur-Valserine Ain qui vient d'ĂŞtre mise en service vendredi 21 mai, Arep, le bureau d'Ă©tudes et de conception de la SNCF, a conçu un bâtiment avant-gardiste naturellement ventilĂ© Ă©tĂ© comme hiver grâce Ă une double coupole. L'Asie quel regard diffĂ©rent sur l'Urbanisme durable? L'Europe alimente depuis plusieurs annĂ©es ses propres rĂ©flexions sur les quartiers durables. Elle expĂ©rimente de nouveaux processus avec plus ou moins de succès en tĂ©moigne l'Ă©mergence des quartiers Vauban Ă Friebourg, Bedzed en Angleterre ou de la ZAC de Bonne en France avec une grande variĂ©tĂ© d'actions. NĂ©anmoins, toutes ces initiatives sont issues d'analyses occidentales avec tout ce que cela comporte de prĂ©supposĂ©s historiques, sociologiques, dĂ©mographiques, etc. L'inconvĂ©nient est de nous limiter dans nos sources d'inspirations. Le prix 2010 de l'architecture durable sous le signe de l'urgence ...Ă©cologique et dĂ©mographique Du bricolage et de la haute technologie, de l'Ă©nergie solaire et du ciment social, du luxe et de la misère les cinq agences d'architectes rĂ©compensĂ©es par la quatrième Ă©dition du Global Award for Sustainable Architecture, mardi 11 mai, Ă Paris, incarnent la diversitĂ© des approches et des enjeux du dĂ©veloppement durable en architecture. "Le jury a l'intelligence de ne pas s'en tenir Ă l'Ă©co-construction europĂ©enne et de considĂ©rer aussi les dĂ©marches urbaines, les enjeux sociaux, revendique Marie-HĂ©lène Contal, directrice adjointe de l'Institut français d'architecture, qui pilote, pour la CitĂ© de l'architecture et du patrimoine, ce prix français de portĂ©e mondiale. Le but n'est pas de nommer les meilleurs architectes mais d'identifier ceux qui font avancer la rĂ©flexion, de les rendre visibles et de favoriser leurs Ă©changes. Ces dĂ©fricheurs sont souvent très seuls dans leur pays." Il s’agit du XVIIIème congrès du Snal, qui proposera de faire le point sur le Grenelle 2, la rĂ©partition des compĂ©tences entre les collectivitĂ©s territoriales, la rĂ©forme de la fiscalitĂ© de l'urbanisme, la rĂ©forme de la politique de financement du logement, et la dĂ©marche Ă©co-quartiers. Le Snal lancera Ă cette occasion ses premiers TrophĂ©es de l’AmĂ©nagement. Le 5 mai Ă Angers, s'est tenu un colloque organisĂ© par l’association Amorce, pour aborder des thĂ©matiques des solutions Ă©nergĂ©tiques, des Ă©coquartiers, de l’urbanisme, et de la performance Ă©nergĂ©tique des bâtiment au regard des nouveaux outils et objectifs instaurĂ©s par le Grenelle. Les 5 dĂ©fis de l'habitat durable Arnaud Gabenisch Arnaud Gabenisch d’ALCIMED dresse un panorama des dĂ©fis Ă relever par les professionnels du bâtiment pour s’adapter aux exigences rĂ©glementaires et d’efficacitĂ© de l’habitat durable. Il pointe du doigt la nĂ©cessitĂ© de faire Ă©voluer les pratiques pour aller dans le sens d’une dĂ©marche globale et concertĂ©e. Au coeur des enjeux Ă©nergĂ©tiques de demain, les Ă©nergies renouvelables dans le bâtiment sont naturellement devenues un axe majeur du salon interclima+elec. Nouvelles compĂ©tences, offre technologique Ă©volutive, rĂ©glementation mouvante grâce Ă de nombreux exposants et Ă un programme de confĂ©rences complet, interclima+elec vous propose de faire le point sur les produits et les enjeux de ce secteur. les exposants proposant des solutions solaire thermique... les exposants proposant des solutions pompe Ă chaleur, gĂ©othermie... les exposants proposant des solutions biomasse... Le bois de construction, matĂ©riau sain et Ă©cologique ? A la recherche de matĂ©riaux de construction vraiment Ă©cologiques, comme la terre crue, Greenzer s’est arrĂŞtĂ© sur le bois, en ce dĂ©but d'annĂ©e 2010. Le bois, ressource renouvelable aux indĂ©niables qualitĂ©s esthĂ©tiques, peut-il vraiment prĂ©tendre au statut de matĂ©riau Ă©cologique ? Les maisons Ă ossature bois ou tout bois ont fait leur apparition dans le paysage de l’éco-construction, individuelle et collective, suivant la mode du retour du bois dans tous les domaines y compris celui des jouets. Ressource peu coĂ»teuse, renouvelable, durable, lorsqu’elle est bien exploitĂ©e, le bois se forge la rĂ©putation de matĂ©riau de construction du futur. Mais le bois de construction est-il vraiment si Ă©cologique et Ă©conomique ? Pages-Energie vient d’annoncer le lancement du premier portail collaboratif sĂ©curisĂ© dĂ©diĂ© Ă l’éco-habitat. En mettant en relation l’offre et la demande, ce site simplifie les dĂ©marches et permet aux particuliers, collectivitĂ©s ou entreprises d’entrer directement en contact avec les Ă©co-acteurs qualifiĂ©s. Chaque utilisateur peut piloter et structurer son projet d’éco-construction ou d’éco-rĂ©novation via A quelques jours du Sommet de Copenhague, la Ville de Paris a organisĂ©, le 30 novembre, un sĂ©minaire franco-suĂ©dois sur le thème de la ville durable. Objectif confronter et mutualiser les expĂ©riences des deux pays, la Suède Ă©tant rĂ©putĂ©e pour ses initiatives innovantes en matière de dĂ©veloppement durable. Hager travaille sur un projet baptisĂ© “Maison be-GREEN” en partenariat avec GDF-Suez et le groupe La conception de la maison est rĂ©alisĂ©e par Ossabois, constructeur de maisons Ă ossature bois. L’une des maisons est passive, c’est-Ă -dire qu’elle consomme peu d’énergie, et l’autre est Ă Ă©nergie positive elle restitue de l’energie. Les maisons seront prĂ©sentĂ©es en octobre puis exposĂ©es du 2 au 7 novembre 2009 au salon Batimat Ă Paris. Dans ce projet, Hager a rĂ©alisĂ© la partie Ă©lectrique des habitations en les Ă©quipant de ses produits. La domotique y occupe une large place Ă©clairage, commande des stores, etc. Un Ă©cran de contrĂ´le permettra de suivre la consommation d’énergie. La domotique reprĂ©sente aujourd’hui 10% de l’activitĂ© de la sociĂ©tĂ©. Pour l’annĂ©e 2008 le groupe Hager a rĂ©alisĂ© dans ce domaine un chiffre d’affaires de 300 millions d’euros en France. La domotique, les Ă©conomies d’énergies et l’écologie sont plĂ©biscitĂ©s par les consommateurs et reprĂ©sentent des axes de dĂ©veloppement pour les sociĂ©tĂ©s. Voir un reportage vidĂ©o sur l’équipement domotique d’une maison en cliquant ici. Retrouvez le projet “Maison be-GREEN” en cliquant ici. Eco-quartiers et Ă©co-citĂ©s les laurĂ©ats de l'appel Ă projet du gouvernement 1ère confĂ©rence nationale Ville durable Les rĂ©sultats de l’appel Ă projets EcoQuartier et de la dĂ©marche EcoCitĂ© ont Ă©tĂ© promulguĂ©s par le ministre de l’écologie, de l’énergie et du dĂ©veloppement durable. Grenoble reçoit le Grand prix national de l’appel Ă projets Ecoquartiers, pour l’EcoQuartier de la ZAC de Bonne et 26 autres projets sont primĂ©s. Voir tous les laurĂ©atsConsultez notre dossier technique Logement social HQE et Ă©coquartiers BATITEC 1er prix au Palmarès 2009 au salon Maison bois d’Angers Evenement incontournable, ce palmarès rĂ©compense, architectes, concepteurs, constructeurs de toute la France pour leurs rĂ©alisations exceptionnelles. “Une maison dans les chĂŞnes” a remportĂ© le premier prix au salon Maison bois d’Angers qui s’est dĂ©roulĂ© du 16 au 19 octobre. Le jury professionnel, composĂ© d’architecte, constructeurs, journalistes et organismes professionnels, a attribuĂ© ce prix Ă Batitec et David Hebert, Architecte Ă Cahors. Les critères de choix sont multiples ils portent tout autant sur l’architecture, la crĂ©ativitĂ©, l’esthĂ©tisme que sur l’aspect technique, l’intĂ©gration dans le contexte ou encore la dĂ©marche environnementale et Ă©nergĂ©tique. Pour en savoir plus Energie positive Le logement social parisien innove En engageant la première opĂ©ration de logement social Ă Ă©nergie positive dans le tissu urbain parisien, la RĂ©gie immobilière de la Ville de Paris RIVP franchit un nouveau pas vers le Plan Climat adoptĂ© par Paris. L’agence Baudouin Bergeron a Ă©tĂ© sĂ©lectionnĂ©e pour rĂ©aliser le bâtiment de 17 logements familiaux sociaux du 7 rue GuĂ©not dans le 11ème. DĂ©veloppement durable le journal L'association Cap Consommateurs Habitants Ă dĂ©voilĂ© le 6 octobre les rĂ©sultats d'une Ă©tude exclusive autour des Ă©conomies d'Ă©nergie menĂ©e auprès de 400 propriĂ©taires de leur logement. Cette enquĂŞte montre que la majoritĂ© des sondĂ©s ne sont pas encore prĂŞts Ă investir pour faire des Ă©conomies d'Ă©nergie dans leur logement. Selon l'Ă©tude de l'association Cap Consommateurs Habitants, sur l'ensemble de l'Ă©chantillon interrogĂ©, seuls 22 % des sondĂ©s envisagent de rĂ©aliser des travaux dans les 3 ans pour amĂ©liorer leur logement. Et parmi eux, une très faible part 19%, projette de rĂ©aliser des travaux ayant un impact sur les Ă©conomies d'Ă©nergie. Ce qui signifie que seulement 4% des interrogĂ©s devraient rĂ©aliser des travaux visant Ă Ă©conomiser l'Ă©nergie d'ici Ă 3 ans. Pour lire l'article complet IBC SOLAR lance sa tuile photovoltaĂŻque et propose ainsi aux acteurs du bâtiment et des Ă©nergies renouvelables une solution Ă©ligible Ă la prime d’intĂ©gration selon les nouvelles normes en vigueur au 1er Janvier 2010 tarif de rachat de 60,2 cts/kilowattheure. Cette tuile solaire cadrĂ©e SolRif permet Ă IBC SOLAR de se positionner sur le marchĂ© de la tuile solaire avec une solution de qualitĂ© qui devrait sĂ©duire les installateurs par sa facilitĂ© de pose, et les particuliers et architectes par son look, sa qualitĂ© et bien entendu son au 4ème trimestre 2009, la tuile IBC MonoSol 135 EE RI devrait connaĂ®tre un joli succès, notamment au vu des nouvelles normes d’intĂ©gration. Pour obtenir plus d’information concernant la tuile IBC MonoSol 135 EE RI, vous pouvez appeler au 04 79 65 42 30, oĂą les coordonnĂ©es du commercial IBC SOLAR de votre rĂ©gion vous seront transmises, ou envoyer un email Ă [email protected] . Site web La jeune pousse de Belfort a sĂ©duit les fonds d'investissement, Siparex et Nord CrĂ©ation. C’est la première levĂ©e de fonds d’Opaly, fondĂ©e dĂ©but 2007 par Ă Essert, dans le Territoire de Belfort. L’entreprise fournit une solution clĂ©s en main, de la fourniture de la façade jusqu’à l’intĂ©gration aux systèmes aĂ©rauliques. La façade est constituĂ©e de briques prĂ©fabriquĂ©es avec un système de chauffage reposant sur le principe de l’aĂ©rothermie solaire avec une circulation de l’air dans l’enveloppe. Un concept validĂ© par le CSTB Centre scientifique et technique du bâtiment. Le ministre de l'Ecologie Jean-Louis Borloo a proposĂ© au mouvement HLM de rĂ©nover 1,5 million de logements supplĂ©mentaires, lors de la première journĂ©e du 70ème congrès de l'Union sociale pour l'Habitat USH, le 15 septembre Ă Toulouse. Il a affirmĂ©, dans un message vidĂ©o, que le gouvernement Ă©tait prĂŞt Ă permettre l'accĂ©lĂ©ration de la rĂ©novation thermique du parc HLM pour rĂ©duire considĂ©rablement la note de chauffage des locataires. Il s'agit de "gagner une bataille qui serait dĂ©cisive" dans la lutte contre le rĂ©chauffement climatique car le logement reprĂ©sente 40% de l'Ă©nergie consommĂ©e en France. "Je vous propose d'Ă©tudier sĂ©rieusement les voies et moyens pour amĂ©liorer considĂ©rablement la vitesse d'exĂ©cution" du plan qui prĂ©voit la rĂ©novation thermique des logements HLM les plus Ă©nergivores, a dĂ©clarĂ© le ce plan prĂ©voit la rĂ©habilitation de logements HLM, sur un total de 4,2 millio ns, d'ici 2020. La rĂ©novation thermique d'un logement coĂ»te en moyenne euros, selon l'USH. "Nous tiendrons notre objectif de en 2009, de autres en 2009 et de d'ici 2020", a assurĂ© le prĂ©sident de l'USH Thierry Repentin. Jean-Louis Borloo souhaite l'ajout dans ce plan de 1,5 million de logements supplĂ©mentaires, classĂ©s dans la catĂ©gorie D qui reprĂ©sente, dans certaines rĂ©gions comme le Nord-Pas-de-Calais, 80% du total du parc. Ces logements ne peuvent pas bĂ©nĂ©ficier des dispositions fiscales et du taux d'intĂ©rĂŞt spĂ©cifique de l'Ă©co-prĂŞt Ă 1,9% de la Caisse des DĂ©pĂ´ts. DĂ©partements, rĂ©veillez-vous ! Pas d’action efficace pour le climat sans l’implication de tous, avec la plus grande proximitĂ© possible. Le Grenelle de l’environnement a confiĂ© des tâches aux dĂ©partements. Jusqu’à prĂ©sent, la rĂ©ponse n’est pas fulgurante. Patrick Jolivet est responsable recherche et dĂ©veloppement Ă BMJ Ratings et Françoise Larpin est AssociĂ©e au groupe KPMG Selon l’étude sur le dĂ©veloppement durable dans les dĂ©partements que viennent de publier l’agence de notation extra-financière BMJ Ratings et le cabinet KPMG, les dĂ©partements peinent encore, pour la plupart, Ă prendre la pleine mesure des enjeux climatiques. Si ces enjeux, globaux par nature, appellent un traitement aux niveaux national et international, des politiques locales exemplaires sont nĂ©anmoins le cadre du Grenelle de l’environnement, l’article 5 du projet de loi Grenelle 1 impose que d’ici 2010 soit rĂ©alisĂ© un audit Ă©nergĂ©tique pour tous les bâtiments publics et Ă©tablissements publics. L’article 7 du mĂŞme projet de loi veut rendre obligatoire avant 2012, pour les collectivitĂ©s territoriales de plus de 50 000 habitants, l’élaboration de plans climat-Ă©nergie territoriaux » en cohĂ©rence avec les documents d'urbanisme. A ce jour, si 42% des dĂ©partements dĂ©clarent avoir mis en place un plan de maĂ®trise de l’énergie, seulement un sur cinq 26% se sont engagĂ©s dans un Plan Climat Territorial proprement dit. Un peu plus du quart des dĂ©partements 29% contribuent au dĂ©veloppement de filières d’énergies renouvelables, par le soutien aux filières et la sensibilisation de la population. Seuls 33% des dĂ©partements ont mis en place un Plan de DĂ©placement Administration pour leurs personnels, 56% d’entre eux dĂ©clarant ce projet Ă l’ terme d’optimisation Ă©nergĂ©tique dans les bâtiments publics, les dĂ©partements font preuve d’une relative passivitĂ© les premières actions qu’ils mènent concernent le suivi rĂ©gulier des consommations et les travaux courants de rĂ©glages et d’isolation 90% de rĂ©ponses chacune. Viennent ensuite des actions plus volontaristes, comme la rĂ©alisation de diagnostics de pertes Ă©nergĂ©tiques et de travaux de construction/rĂ©habilitation de Haute QualitĂ© Environnementale 66% chacune, ou la sensibilisation des personnels et usagers 62%. Seulement 28% des dĂ©partements ont mis en place des outils de tĂ©lĂ©gestion ou de tĂ©lĂ©surveillance des ce sujet, il faut souligner un Ă©cueil Ă Ă©viter pour les dĂ©partements, comme d’ailleurs pour tout type de collectivitĂ© la rĂ©alisation de quelques bâtiments exemplaires » HQE, THPE, BBC, etc., le reste du patrimoine et la majoritĂ© des constructions neuves demeurant conforme aux schĂ©mas classiques l’exemplaritĂ© ne serait alors qu’un leurre, l’arbre qui cache la forĂŞt en quelque l’étude complète sur le site de BMJ Ratings ou de KPMG LycĂ©e Kyoto Ă Poitiers le 1er lycĂ©e d’Europe Ă zĂ©ro Ă©nergie fossile C'est dans un lycĂ©e flambant neuf, mais surtout exemplaire en termes d'Ă©co-construction que 500 Ă©lèves ont effectuĂ© leur rentrĂ©e le 2 septembre Ă Poitiers. Cet Ă©tablissement avant-gardiste, qui ne ressemble Ă aucun autre, ne consommera pas d'Ă©nergie fossile. Une vitrine de savoir-faire en matière de dĂ©veloppement durable et de sobriĂ©tĂ© Ă©nergĂ©tique. Le 1er lycĂ©e Ă zĂ©ro Ă©nergie fossile et 100% d'Ă©nergies propres» d'Europe a ouvert ses portes Ă Poitiers et revendiquel'excellence environnementale. La RĂ©gion Poitou-Charentes l'a voulu ainsi, dans le cadre de sa politique environnementale qui vise la rĂ©duction de ses Ă©missions de gaz Ă effet de serre de 800 000 tonnes Ă©quivalents CO2 Ă l'horizon 2010. Le nom Kyoto » donnĂ© au lycĂ©e en rĂ©fĂ©rence au protocole sur les engagements de rĂ©duction d'Ă©mission de gaz Ă effet de serre n'a donc pas Ă©tĂ© choisi Ă la lĂ©gère.
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